Message de MeriAmon
pour le portail du 11.11.25 et Sceau de Salomon
du 15.11.25

Mes frères et sœurs en humanité,
Permettez-moi en ce jour de parler particulièrement pour le féminin sacré qui a été si détourné, blessé, déshonoré et oublié depuis le début de l’histoire de la dimension séparative.

Ce jour et les jours à venir, je vous enjoins mes sœurs à prendre la mesure de Qui vous êtes en Vérité et à dépasser vos blessures en étant en présence. Vous qui avez été Reines, au pouvoir mais plus souvent sous le pouvoir des hommes, la 1ère parfois mais plus souvent la dernière, la plupart du temps en arrière, car les temps étaient à la guerre des sexes, à la séparation de l’Unité.

Je vous enjoins, mes frères, alors que vous avez pris l’habitude de soumettre ou d’user selon votre bon plaisir, et de voir en la femme un objet vous permettant de vous surenchérir et, quoi que plus rarement, en ayant eu la crainte de son pouvoir… Je vous enjoins de laisser la place au féminin qui vous est cher, de lui laisser la parole et de l’écouter, sans l’obliger à devenir elle même masculine par peur, et sur la défensive par crainte, d’être subordonnée à votre autorité, je vous enjoins à la retrouver afin que vous vous retrouviez vous même.

Je vous le dis, mes Sœurs, il est aujourd’hui temps de prendre la dimension de votre vraie nature, de l’honorer et de la magnifier, quoi que vous fassiez et quel que soit votre âge et votre condition.

Il est temps de prendre conscience que votre force est de garder la voie ouverte. Car si l’homme entre dans la voie, vous êtes la voie.
Si St Germain-Yeham donne le signal de l’avancement, Je Suis le chemin.
Osez vous aussi, mes sœurs, être le chemin, être la voie.
C’est en gardant la voie ouverte que l’homme peut avancer et se manifester dans ce qu’il est de plus haut.
Plus que cela encore, vous qui êtes ici présentes, vous avez libéré, nettoyé le chemin de ses ronces. Je vous demande de venir à moi, Meryam, afin de garder la voie ouverte. Malgré les pressions extérieures des forces adverses, il vous faut rester fermes dans votre résolution et dans votre place. Si parfois, l’une de vous flanche, que l’autre soit là pour l’aider à se relever. Ne perdez plus le fil désormais de qui vous êtes vraiment. Cette recommandation est évidemment valable, que vous soyez femme ou homme. En tant qu’homme soyez celui qui relève le féminin plutôt que celui qui blesse ; celui qui soutient, plutôt que celui qui rabaisse. Celui qui rend confiance plutôt que celui qui brise la confiance.

Vous tous, si vous aviez une prière à formuler pour ce passage, que ça soit celle-ci : « Bien Aimée Présence, Seigneur Dieu, faites que toutes les voies de l’Univers convergent vers moi pour me faire souvenir de Qui Je Suis et me soutenir à l’incarner et le manifester. »

Vous, époux, compagnons, frères et fils des femmes qui vous entourent, respectez les sans plus oublier qui elles sont : votre inspiration, votre force et votre générosité ; votre impulsion à avancer et la douce puissance incarnée, la voie que vous prenez pour vous retrouver. Il n’y a pas de plus, il n’y a pas de moins.

Mes sœurs, mes frères, tenez bon ; rassemblez vous, reliez-vous afin de créer cette force d’Unité qui fait son œuvre.
La révolution silencieuse est en marche et si certains d’entre vous ont accompli leur ascension, il vous faut maintenant tenir et accueillir votre réalisation. Cela se prépare. Sachez que bien que les temps que vous venez de passer ont pu vous malmener, de grands bienfaits vous seront accordés si vous n’avez pas trahi votre engagement. Il y a encore beaucoup à faire et il y a aussi beaucoup à récolter.

Soyez assuré de notre bénédiction, celle de la Fraternité Blanche à mes côtés et à vos côtés, et particulièrement celle de mon royal époux ainsi que la mienne.